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Baromètre bio 2022 : un bilan globalement positif

Deux ans après le précédent baromètre, l’Observatoire de la consommation de l’Apaq-W, en partenariat avec le bureau d’étude Listen S.A., s’est de nouveau penché sur la consommation des produits biologiques. Cette version actualisée met à jour les données relatives à la connaissance de l’agriculture biologique et à son attractivité.

Les consommateurs ont-ils une bonne connaissance de l’agriculture biologique ?

Le label Eurofeuille, le label le plus reconnu !

Même s’il existe plusieurs labels pour prouver le caractère biologique d’un produit, le label Eurofeuille semble le plus connu parmi les consommateurs. Ce label est en vigueur dans toute l’Europe depuis 2010 et garantit que le produit sur lequel il est apposé est issu de l’agriculture biologique, qu’il a été produit par des opérateurs certifiés bio et contrôlé par un organisme indépendant.

La réglementation en vigueur

De manière générale, plus de 6 Belges sur 10 connaissent au moins partiellement les règles qui régissent l’agriculture biologique. Selon les réponses, il apparaît que la plupart des vraies règles - à savoir les règles concernant l’utilisation de produits chimiques et d’OGM, l’alimentation des animaux et les conditions d’élevage - ont été correctement identifiées. En revanche, les fausses règles sont considérées à tort comme effectives par la majorité car moins connues par les répondants.

Attractivité du bio

Comparé à 2020, les produits bio gardent une image positive aux yeux des consommateurs.
En effet, les aspects tels que la santé, la qualité des produits, l’environnement, le bien-être animal et l’économie locale sont des facteurs qui jouent fortement sur l’intérêt des consommateurs pour les produits bio. Toutefois, le prix élevé de ces produits semble représenter un frein important.

Cet intérêt pour le bio est notamment démontré par la stabilité de la consommation. La proportion de consommateurs de produits bio reste stable, mais les Belges qui consomment des produits bio le font plus régulièrement qu’auparavant.

L’étude complète ici

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State of grocery

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