Search

Pourquoi la dinde est-elle la star des menus de fin d’année ?

Si elle est parfois remplacée par d’autres volailles (chapon, oie, canard), la dinde reste un mets incontournable de décembre et se retrouve dans les rayons et comptoirs de nombreux commerçants, avant de régaler les convives sur les tables familiales lors du traditionnel repas de Noël. D’où vient cette tradition ?

La poule d'Inde

En découvrant le Nouveau Monde, Christophe Colomb a aussi fait la découverte de ce volatile encore inconnu en Europe. C’est lui qui ramène donc la dinde dans nos contrées au 15e siècle.
Le nom « dinde » vient d’ailleurs du fait qu’à l’époque Christophe Colomb pensait avoir découvert les Indes. C’est ainsi que l’oiseau a été nommé « poule d’Inde », puis « dinde » au fil du temps.

Très vite, la dinde et ses origines « exotiques » ont le vent en poupe. Elle est un produit de luxe qui remplace l’oie ou le paon jusqu’alors régulièrement servis aux tables de l’aristocratie.
Plus grosse que le poulet, elle permet aussi de nourrir toute une tablée lors des festivités.

La rareté et le prix de l’engraissage de la dinde réservent longtemps sa consommation aux familles les plus aisées. Il faut attendre le 19e siècle pour que son prix se démocratise suffisamment et qu’elle devienne la star incontournable des tables de Noël. Dinde rôtie, dinde farcie… La tradition est maintenant bien présente à travers tout le continent européen, mais aussi (et surtout) en Amérique du Nord.

Plus d’inspiration et d’infos savoureuses dédiées au food retail et aux métiers de bouche ?

Let’s share:

Share on Facebook
Share on Twitter
Share on Linkdin
Share on Pinterest

La collation : un nouveau repas et une vraie tendance de consommation

La rentrée se profile doucement. À l’heure du retour au travail, à l’école ou aux activités sportives, de nombreux consommateurs vont se mettre en recherche de collations faciles à emporter et faciles à déguster. Une opportunité pour les commerces de se démarquer en proposant une offre qui correspond aux modes de vie bien rythmés et aux attentes de leurs clients, toujours plus exigeants notamment en matière de goût, mais aussi de santé.

Lire plus »

“La compétitivité est une priorité urgente !”

Interview de Michael Gore, Managing Director de la FEBEV, proposée en collaboration avec Vincent Panneels, 20/CENT Retail.

Poursuivons notre série d’entretiens entamée à la suite des élections législatives de juin et continuons à prendre le pouls du côté des organismes et fédérations du secteur alimentaire, afin de connaître leurs priorités, perspectives et attentes à l’égard des nouveaux gouvernements. Michael Gore, Managing Director de la FEBEV (Fédération belge de la Viande) s’est prêté au jeu.

Lire plus »

« Nous devons parvenir à orienter le consommateur vers des comportements durables et des produits locaux »

Interview de Philippe Mattart, Directeur Général de l’APAQ-W, proposée en collaboration avec Vincent Panneels, 20/CENT Retail.
À la suite des élections législatives de juin, il nous semblait intéressant de prendre connaissance des attentes de certains acteurs par rapport aux nouveaux gouvernements. C’est pourquoi nous avons interrogé quelques organismes et fédérations pour nous partager leurs avis, priorités et perspectives. Découvrez le premier entretien de cette série, avec Philippe Mattart, Directeur Général de l’APAQ-W.

Lire plus »

Tour d’horizon des tendances du secteur belge de la bière…

… Et des nouveautés annoncées par nos exposants 2025 du secteur brasserie !

Le 4 août, le monde célèbre la bière à l’occasion de la Journée Mondiale de la Bière ! En Belgique, on la considère un peu comme notre boisson nationale. Mais l’est-elle toujours vraiment, alors qu’en juin dernier, la plateforme Retail Detail nous révélait qu’en 2023, les Belges avaient significativement réduit leur consommation de bière. Quelle est la situation et l’état de santé actuel du secteur ? Quelles sont ses perspectives et les dernières tendances notables sur ce marché ?

 

 

Lire plus »

Shrinkflation, réduire la taille d’un produit, mais pas son prix : le point sur cette pratique commerciale

La législation française prend les devants par rapport à cette pratique commerciale : à partir du 1er juillet 2024, les supermarchés français de plus de 400 m2 devront informer de manière visible et lisible leurs consommateurs lorsqu’un produit voit son poids évoluer à la baisse sans que son prix ne suive la même courbe (soit directement sur l’emballage, soit sur une étiquette affichée à proximité immédiate du produit).
Cette actualité nous offre l’occasion de nous pencher sur cette « astuce » commerciale qui permet principalement aux fabricants de faire face à l’augmentation de leurs coûts de production.

Lire plus »
Retour haut de page